l'ère de la Frange
On continue à décliner l'alphabet chez les ScrapZ'amies. Après A dimanche et B mardi, je vous présente... F ! Ben oui, les consignes de C, D et E me bloquent un peu trop pour le moment. J'y reviendrai peut-être mais franchement pas tout de suite !
Comme d'habitude il fallait s'ispirer d'une des ages proposées, de scrappeuses dont le pseudo commence par F. Je me suis attaquée à du lourd, en choisissant cette page de la talentueuse (et adorable) Forza :
il fallait aussi intégrer :
- de la ficelle + de la feutrine
- une flipette + un fanion OU une fleur + des flèches
- combo fraise / framboise / fuchsia OU monochrome fauve
- intégrer le mot frou-frou ou fabuleux(se) ou facebook ou frange
Alors au départ, je voulais faire une page sur les enfants avec fabuleux. Mais le combo rosé avec mes fistons, ça l'aurait pas trop fait (et le fauve ça faisait tristouille). Donc j'ai voulu tenter le mot Facebook mais j'avais rien qui collait. Jusqu'à ce que je retombe sur une enveloppe envoyée il y a logtemps par ma mère. Et là, l'illumination !
Cela dit, je suis vraiment pas douée avec les encres, je compte vraimet sur mes copines (Kwick, Sileo, Punky-Dee...) pour me faire un cours perso, maintenant qu'on habite pas loin. Vous avez promis hein ! Donc en attendant, mon fond est nettement moins réussi que celui de Daphné (Forza). M'enfin tant pis, c'est comme ça qu'on apprend.
Matériel : papiers BG et EchoPark, sticker KesiArt, alphabets Teresa Collins et American Crafts, magic mesh, étiquettes by Ness et ticket de récup.
Hein ? Ha oui... Bon ok, c'est mon jour de bonté. Voilà le texte ;)
Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître : FACEBOOK en ce temps là n'existait même pas ! Le TELEPHONE avait un fil et restait à la maison, on n'avait que 6 chaînes à la TÉLÉ. Quand on partait en vacances on préparait l'itinéraire avec une carte car on n'avait pas de GPS. Personne ne connaissait l'existence d'INTERNET, sauf l'armée américaine. La musique était sur des CASSETTES qu'on écoutait dans un WALKMAN (et si on avait la classe, il était auto-reverse). On payait en Francs, on portait des JOGGINGS et des sacs-banane. On retrouvait ses copains dans la rue pour parler ou faire du patin à roulettes. Une époque à laquelle finalement je repense avec nostalgie, à la fois proche et si lointaine :